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Badara Cherif Aly

  • Photo du rédacteur: Faustin André Koua Cédric
    Faustin André Koua Cédric
  • 16 mai 2022
  • 2 min de lecture

Badara Cherif Aly

C’est la passion qui a amené Badara Cherif au cinéma et c’est la même passion qui l’anime aujourd’hui pour en faire son métier. C’est dans la logique qu’il s’inscrit dans un centre de formation cinématographique et audiovisuelle NAC, National Art Communication. Il fait plusieurs stages et reste immergé dans ce secteur d’activité pour son plus grand plaisir.

Aujourd’hui, Badara s’est lancé dans la réalisation avec son premier court métrage « L’hypocrisie », il a ensuite réalisé quelques Web-séries, telles que « Ici c’est la cité ». Une multitude de projets attendent aussi leur réalisation.






Peux-tu te présenter pour les lecteurs de Cinéarts Diamond Magazine ?

Oui bien sûr, je suis Badara Cherif Aly, je suis né le 12 novembre 1996 à Bingerville en Côte d’Ivoire. Je suis acteur, formateur et maintenant réalisateur. Responsable de BC Productions.

J’ai une formation d’acteur à la Nationale Arts Communication (NAC), promo 2014. J’ai ensuite bénéficié de plusieurs stages :

Un stage de formation cinématographique, animé par Ouattara Abass Ibn avec comme thème : La force de l’improvisation.

Un autre stage animé par Diarrasouba Siaka avec pour thème : Ethnique et déontologie dans le milieu cinématographique.

Ensuite un stage animé par Vincent Gouitaa avec pour thème : Technique de jeu cinématographique.

Et enfin un stage animé par Kakou Clavaire avec pour thème : Le scénario, Introduction et approche thématique.


Pourquoi le cinéma comme métier ?

C’est ma passion et ma raison de vivre… J’ai toujours voulu faire ce métier et je vais tout faire pour réussir. Je suis très motivé.

Quelle a été la réaction de tes parents quand tu leur as dit que tu voulais faire du cinéma ?

Ils ont bien pris la chose et ne m’ont opposé aucune objection. Il savait que le cinéma est une passion dévorante en moi…


Après toutes ces formations et ces stages que comptes-tu faire ?

Aujourd’hui, je suis un acteur professionnel, formateur et réalisateur et je compte bien continuer à me professionnaliser au niveau du métier de réalisateur. L’apprentissage du cinéma ne s’arrête jamais, c’est permanent… Il faut toujours aller de l’avant pour être meilleur. Les techniques évoluent et les hommes doivent aussi évoluer.


Quand as-tu commencé le métier d’artiste professionnel ?

C’est en 2017 que j’ai débuté ce métier et franchement je ne le regrette pas.


Es-tu heureux dans ton travail ?

Oh que oui ! (Rire) Je suis dans mon monde et heureux d’être au cœur de ma passion.


Parle-moi de cette association FIPCA dont tu es membre ?

La Fipca est la Fédération Ivoirienne des Professionnels du Cinéma et de l’Audiovisuel. C’est une organisation syndicale qui a comme objectif d’améliorer les conditions de vie et de travail des acteurs en Côte d’Ivoire.


Merci à toi et que les étoiles du cinéma t’accompagnent sur ton chemin.


Faustin André Koua Cédric

Abidjan (Côte d’Ivoire)

Pour Cinéarts Diamond Magazine

 
 
 

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